Pierre Alechinsky, Joyce Mason, Carré blanc, Le Soleil Noir, 1965
  • Pierre Alechinsky, Joyce Mason, Carré blanc, Le Soleil Noir, 1965
  • pour annoncer la parution du livre de Joyce Mansour "Carré blanc" illustré par Pierre Alechinsky
  • bulletin d'information n°4" des éditions du Soleil Noir

MANSOUR Joyce

JOYCE MANSOUR
PIERRE ALECHINSKY 

CARRÉ BLANC

éditions Le Soleil Noir, 1965

très original "bulletin d'information n°4" des éditions du Soleil Noir, pour annoncer la parution du livre de Joyce Mansour "Carré blanc" illustré par Pierre Alechinsky

le bristol de couleur crème, imprimé en noir recto verso, est inséré dans un étui en kraft découpé de part et d'autre d'un "carré" laissant visible un carré blanc de bristol
ce dispositif "animé" reprend le principe de l'emboîtage du tirage de tête du livre lui même, dans lequel un poème inédit de James Mansour imprimé sur Japon disparait dans le mécanisme de l'emboîtage

format : 20,8 x 13 cm

50,00 €
Quantité

"Voici, après un silence de cinq ans, CARRÉ BLANC : de nouveaux cris sur le pont de la nuit. Sans pour autant proposer cet ouvrage à toutes les mains (avertissement de l'éditeur à ceux qui pourraient s'égarer derrière un écran dont le titre est pourtant si clair) ce carré blanc ne manquera pas d'agir sur un grand nombre comme un laissez-passer pour une fête interdite : "Citer Joyce Mansour dans un panorama sur l'amour, avait déjà remarqué Maurice Chappaz, c'est citer l'un des cercles de l'enfer."

Composé par Joyce Mansour en 1965, le recueil de poésie "Carré blanc" a été publié la même année par Le Soleil Noir.
Il a été tiré à 2730 exemplaires  : 2 450 étaient imprimés sur papier vélin édita Prioux, avec une couverture lithographique de Pierre Alechinsky, 200 constituaient la série « Club », offrant en supplément une eau-forte de Joyce Mansour, signée par l’artiste.
Les 80 exemplaires restants constituaient le tirage de tête. Ils étaient imprimés sur vélin d’Arches et présentés sous emboîtage noir avec fenêtre animée et comportaient cinq eaux-fortes et deux aquatintes deux couleurs de Pierre Alechinsky ainsi qu’un poème inédit de Joyce Mansour.