COLLECTIF
OP LOSSE SCHROEVEN: SITUATIES EN CRYPTOSTRUCTUREN
catalogue de l'exposition organisée par le Stedelijk Museum d'Amsterdam du 15 mars au 27 avril 1969, autour de l'Arte Povera, de l'art conceptuel, de l'art minimal et du Land Art
texte de Piero Gilardi
les artistes présentés étaient : Carl Andre, Giovanni Anselmo, Ben d'Armagnac, Joseph Beuys, Boezem, Bill Bollinger, Michael butte, Pier Paolo Calzonari, Gerrit Dekker, Walter de Maria, Jan Dibbets, Ger van Elk, Pieter Engels, Barry Flanagan,Bernhard Höke, Paolo Icaro, Immo Jalass, Olle Kåks, Hans Koestsier, Jannis Kounellis, Roelof Louw, Richard Long, Bruce Mc Jean, Marisa Pers, Mario Merz, Bob Morris, Bruce Nauman, Dennis Oppenheim, Panamarenko, Emiio Prini, Robert Ryman, Richard Serra, Franck Viner, Lawrence Weiner, Gilberto Zorio...
format : 27,5 x 21 cm
reliure en deux volumes distincts réunis sous couverture pliée
64 pages reliées par 4 agrafes métal
58 pages reliées par 3 attaches parisiennes
couverture souple
l'exposition Op Losse Schroeven : Situaties en Cryptostructuren (1969), fut une une exposition révolutionnaire organiséeen 1969 par Wim Beeren, alors conservateur (et plus tard directeur) du Stedelijk Museum, (...) s'appuyant sur des matériaux d'archives et de documentation uniques, présentés avec des œuvres acquises auprès des artistes participants, comme Joseph Beuys, Jan Dibbets, Richard Long, Bruce Nauman et Mario Merz...
pour Op Losse Schroeven : Situations et Cryptostructures Beeren avait choisi de faire le point sur les derniers développements de l'art à cette époque, portant un intérêt particulier à l'utilisation de matériaux nouveaux et non conventionnels tels que le gaz, la lumière et le néon.
Ses recherches ont servi de base à Op Losse Schroeven, qui a mis en lumière les nombreuses nouvelles directions explorées par les artistes, du Land art à l'Arte Povera, de l'art conceptuel à l'art post-minimal.(...)
Beeren souhaitait refléter l’esprit d’expérimentation qui animait les œuvres exposées. Il souhaitait également attirer l’attention sur les performances éphémères et les interventions conceptuelles hors des murs du musée, dont chacune avait pour but de critiquer à la fois l’art et le musée.